Montréal, jeudi 16 mai 2024 – D’ici 2050, au Québec, le nombre de personnes vivant avec des troubles neurocognitifs pourrait bondir de 145%. À ce jour, aucun traitement ne permet de guérir la maladie d’Alzheimer, qui compte pour plus de 60% de ces troubles. Bien qu’on ne s’en aperçoive pas, la recherche contre la maladie progresse. Plusieurs pistes offrent de nouveaux espoirs aux malades et à leurs proches. La science n’a pas dit son dernier mot… Un dossier complet à lire, dès aujourd’hui, dans Québec Science.
Nouveaux traitements : à quoi s’attendre ?
L’approbation d’un nouveau médicament aux États-Unis – le premier en 20 ans – suscite espoir et controverse. D’autant que Santé Canada pourrait bien l’approuver dans les prochains mois.
Au-delà des médicaments
Quelles avenues existent pour réduire le risque de démence et mieux soigner l’alzheimer?
« Si les traitements pharmacologiques sont encore peu nombreux, la recherche en prévention n’a pas chômé ces dernières années. Tout d’abord, l’alzheimer est très peu héréditaire. Ensuite, les études épidémiologiques ont mis au jour 12 facteurs de risque contrôlables pour protéger le cerveau. Si on agissait sur tous les facteurs, on pourrait éviter jusqu’à 40 % des cas d’alzheimer. » – extrait, Québec Science, Juin 2024
L’alzheimer dans le ventre ?
Le microbiote intestinal serait-il en cause dans le développement de la maladie d’Alzheimer? Le débat scientifique est ouvert.